On peut résumer cette typologie comme suit : Entrée dans les entrepôts de l’entreprise. contrôle de gestion comme un « ensemble de dispositions prises pour fournir aux dirigeants et aux divers responsables des données chiffrées périodiques caractérisant la marche de l’entreprise. La gestion budgétaire ne fera pas exception …, Etudiante à l’IUT de Bayonne, Caroline a postulé chez Turbomeca à Bordes (près de Pau) pour yème année. Puis nous valorisons les mouvements du stock de produits A en appliquant la méthode du CMUP : Î CMUP = (2 400 + 13 200) / (40 + 200) = 65 €/pièce, Vérification : SI + entrées = SF + sorties Ù 2 400 + 13 200 = 11 700 + 3 900 = 15 600 €, Nous pouvons à présent calculer le coût de revient des produits A vendus : Coût de revient = coût de production + part charges indirectes de distribution, = 11 700 + 2 000 * 180 / (180+320) = 12 420 € pour 180 unités, Coût de revient unitaire = 12 420 / 180 = 69 €. Partant de ce constat, il est possible de modéliser le comportement des charges de l’entreprise en fonction du niveau d’activité. En somme, le contrôle de gestion est métabolisé … Cours de contrôle de gestion approfondi Mr KONE Abdoul-Wahab www.coursdefsjes.com Exemple : Soit un centre de profit dont les informations budgétées sont les suivantes : Produits Quantités Vendues Prix Unitaires Coût de Production Autres Charges A 1 000 15 7 1 B 1 400 20 12 2 C 1 200 29 16 7 Le compte de résultat budgété s’établit ainsi : Compte de Résultat Budgété … Coût de l'UO = coût du centre pour une activité normale / nombre d’UO à l’activité normale Dans la mesure où les centres d’analyse incorporent une part non négligeable de charges fixes, il peut être nécessaire d’établir un budget flexible, c’est-à-dire un budget tenant compte des différents niveaux d’activité possible. Dans tous les autres cas on parle de « marge ». En désignant : -  par Pr, le prix unitaire réel (ou la marge unitaire réelle), -  par Pp, le prix unitaire prévu (ou la marge unitaire prévue), -  par Pcompo, le prix (ou la marge unitaire) moyen prévu corrigé de la composition réelle des ventes, On obtient les formules suivantes (à retenir ! Exemple : il faut 10 mn de temps de travail à un ouvrier rémunéré 11 euros de l’heure (cotisations sociales comprises) pour fabriquer un article. Lorsqu’il existe des stocks dans l’entreprise (matières premières, produits intermédiaires ou finis), le calcul du coût de revient nécessite de respecter la hiérarchie des coûts et de calculer successivement : -  le coût d’achat des matières achetées = prix d’achat + coûts d’approvisionnement de la période, -  le coût de production des produits fabriqués = coût d’achat des matières consommées + coûts de fabrication  de la période, -  le coût de revient des produits vendus = coût de production des produits vendus + coûts de distribution de la période, Pour passer du coût des matières achetées au coût des matières consommées, on utilise les comptes de stock de matière première : stock initial + coût des matières achetées = coût des matières consommées + stock final De la même façon, pour les produits finis on a : stock initial + coût des produits finis fabriqués = coût des produits vendus + stock final, Stock de MP                                            Stock de PF. Une charge indirecte nécessite un calcul préalable pour être répartie entre plusieurs produits (loyer d’un atelier dans lequel plusieurs produits sont fabriqués). Tous les coûts étudiés jusqu’à présent ont pour point commun d’être des coûts réels, calculés a posteriori (on parle également de coûts constatés) dans le but d’analyser l’activité passée. Il est donc nécessaire d’utiliser des outils plus précis pour les analyser : c’est le but de la méthode « ABC » (« Activity Based Costing », ou méthode des coûts à base d’activités). La valorisation des mouvements de stock peut se faire selon les méthodes admises en comptabilité générale : CMUP (coût moyen unitaire pondéré) ou PEPS (premier entré, premier sorti). Ces standards doivent être revus régulièrement pour tenir compte de l’effet d’apprentissage (l’expérience permet de réaliser plus rapidement une même tâche). Les conventions inverses seraient théoriquement possibles. Enfin, on choisit parmi ces différents moyens techniques de façon à ce que leur coût soit cohérent avec la valeur perçue par le client (une fonction qui ne représente que 20% de la valeur perçue par le client ne doit pas représenter 50% du coût de revient !). Reason. ou d’un feu vert. Nous abordons dans ce chapitre des difficultés de calcul du coût complet dans le cadre de la méthode des centres d’analyse. Il peut comporter des variables suivies par les budgets mais il comportera d’autres éléments qui échappent à la logique du budget. Si plusieurs produits sont vendus, chacun apporte une marge qui concourt à l’absorption des charges fixes communes de l’entreprise (non ventilées par produit) : résultat = ? Mots clés : centre auxiliaire, centre principal, répartition primaire, répartition secondaire, prestations croisées. Report "stratégie et contrôle de gestion" Please fill this form, we will try to respond as soon as possible. Par un renversement du lien de causalité, c’est le prix de vente prévisionnel qui détermine l’objectif de coût à respecter. Un système de contrôle de gestion est un ensemble de moyens de collecte et d’exploitation de l’information. En revanche, dans le cas - plus fréquent – où l’entreprise possède des stocks, ce calcul n’est plus valable. A lui de savoir les utiliser à bon escient …. Mots clés : écart sur ventes, écarts sur marges, effet prix, effet volume, effet composition des ventes. L’écart global s’analyse alors de la façon suivante : Ecart      = coût réel – coût standard = (coût réel – coût préétabli) + (coût préétabli – coût standard), écart                                        écart sur, économique                                    volume, NB : l’analyse de l’écart sur volume ne présente pas d’intérêt particulier. Description Download stratégie et contrôle de gestion Comments. Il faut également tenir les réactions des clients et des concurrents aux actions commerciales de l’entreprise : -  élasticité par rapport aux variations de prix, …. La fonction économique à maximiser est également représentée par une droite que l’on fait « glisser » le plus haut possible jusqu’au dernier point de contact avec le polygone. Des opérations fictives « début » et « fin » sont ajoutées au graphe. Ecart = CA réel – CA prévisionnel = Pr *Qr - Pp * Qp dont : écart sur quantités = (Qr - Qp) *Pp écart sur prix = (Pr - Pp) *Qr. Cet écart est positif car la marge unitaire réelle de chaque produit est supérieure à celle prévue. MSCS – CF indirectes. Elle donne les formules suivantes a = ( ?xi.yi – n.x.y ) / ( ?xi2 – n.x 2 ) = ? Exemple : une entreprise fabrique 2 produits A et B à partir d’une même matière M : unités à 60 € pièce 60 unités à 50 € pièce. Dans le cas ou le budget est établi en termes de marge, il importe de raisonner en marge sur coût standard (le coût standard est un coût prévisionnel ; il sera étudié plus en détail au chapitre 12). contrôle de gestion cours + exercices corrigés pdf, Bien comprendre la méthode ABC en contrôle de gestion, +60 exercices corrigés en contrôle de gestion PDF, Analyse SWOT exemple: force faiblesse opportunité menace, Modèle PESTEL exemples d’analyse et définition, Méthodes de segmentation de marché marketing, 13 exercices corrigés de comptabilité générale PDF, fiscalité marocaine exercices corrigés pdf. Le rôle du contrôleur de gestion d’un projet (à ne pas confondre avec le chef de projet) est : -  suivre l’avancement et proposer des solutions correctives en cas de dérive. -  comment utiliser au mieux l’outil de production afin de maximiser le bénéfice ? Ainsi, dans l’exemple précédent, on n’imputera que 30% des charges fixes au coût des nuitées, les 70% restant étant clairement identifiés comme le coût de la sous-activité, c’est-à-dire le gaspillage lié à la sousutilisation de la capacité productive. Ex : la construction d’un navire comporte les opérations suivantes : Construction du compartiment des machines, Construction des équipements électroniques, Succède aux opérations G et H Succède aux opérations C et E. Les dates « au plus tôt » des opérations sont inscrites en haut à gauche des carrées représentant ces opérations. L’atelier de finition est saturé et représente la seule ressource rare. Les coefficients saisonniers peuvent être obtenus en comparant la moyenne des valeurs de la période étudiée avec la moyenne de toutes les observations : er                            ème                           ème                           ème, Une autre méthode consiste à calculer les rapports à la tendance de la façon suivante : rapport = donnée observée / donnée ajustée (calculée en utilisant l’équation précédente). Il est atteint pour q = ? Dans une entreprise, un budget est une affectation prévisionnelle quantifiée, aux différents centres de responsabilité, d’objectifs et/ou de moyens pour une période déterminée limitée au court terme. Ainsi, par exemple, deux dates au plus tôt sont possibles pour l’opération I : Le chiffre 20 inscrit dans la case « fin » signifie qu’il faudra au minimum 20 mois pour réaliser le projet. L’écart sur marge unitaire doit être décomposé pour faire apparaître l’impact de la composition des ventes. Nous nous intéresserons donc uniquement à l’analyse de l’écart économique. Le coût total des centres d’analyse est tout d’abord calculé pour chaque centre d’analyse, sur la base d’une activité considérée comme normale. Fiche 19 Les prix de cession internes Pour faire une prévision de ces frais, il convient de distinguer : -  les coûts variables proportionnels au chiffre d’affaires. On distingue ainsi : -    écart sur quantité = (11 000 – 10 000) * 24 = 24 000 €  (écart favorable) - écart sur prix =          (26 – 24) * 11 000 =       22 000 €  (écart favorable), En désignant : 10 000 11 000 - par Pr, le prix unitaire réel (ou la marge unitaire réelle), -    par Pp, le prix unitaire prévu (ou la marge unitaire prévue), On obtient les formules suivantes (à retenir !) Certaines sont plus simples mais donnent des résultats moins précis (coefficient d’imputation), d’autres nécessitent des traitements plus complexes et plus coûteux mais donnent des résultats plus précis (méthode ABC). Fiche 20 Le tableau de bord et reporting A chaque étape, les calculs s’effectuent de façon classique : -       imputation directe des charges directes : prix d’achat pour le coût d’approvisionnement, MOD pour lecoût de fabrication, etc …. Une recherche sur internet lui donne deux possibilités : - soit utiliser l’autoroute : le trajet dure 1h20 mais coûte 6,30 € de péage, - soit passer par la nationale : pas de péage mais le trajet dure 2 h. Caroline choisit la première solution et repère les principales étapes de son trajet (à quel endroit quitter l’autoroute, quelle direction suivre, etc …). NB : dans le cas où il existe des stocks intermédiaires dans le processus de fabrication, le raisonnement général reste valable mais on ajoute autant d’étapes que de stocks intermédiaires. y, Seuil de rentabilité : x = 14,3 participants. L’entreprise peut choisir de s’approvisionner selon deux méthodes : •   achat de quantités fixes à des dates variables = gestion à point de commande. En définissant, pour les centres de responsabilité et les processus, des couples ressources-résultats. L’activité normale est l’activité de référence. Ainsi, on ne se base plus sur les départements de l’entreprise (vision verticale) mais sur ses activités (vision transversale). Après avoir calculé le coût réel et le coût standard d’une production, il est utile d’analyser l’écart constaté entre ces deux valeurs afin d’en comprendre les causes. Il doit également être ventilé sur l’année selon une périodicité pertinente. Le premier mois, l’hôtel est rempli en moyenne à 30% (450 nuitées vendues sur 1500 possibles). La date « au plus tard » de l’opération « fin » est égale à sa date « au plus tôt ». En effet, les écarts entre le coût standard et le coût réel ne sont pas sous la responsabilité de la force de vente et ne doivent pas être pris en compte lors de l’évaluation de ses performances. Selon la deuxième méthode, on commence par valoriser les produits joints en fonction de leur valeur marchande diminuée des coûts spécifiques: -  chutes de tôle = 240 – 10% * 240 =  216 €, Puis on calcule par différence le coût du produit principal : - transformateurs = 13 500 - 216 = 13 284 €. -  les charges variables qui sont proportionnelles à l’activité (ex. Chapitre 1 : Les coûts préétablis; Chapitre 2 : gestion budgétaire des ventes Dans un souci de pertinence, la comptabilité de gestion ne travaille pas exactement sur les mêmes charges que la comptabilité financière : -       certaines charges de la comptabilité financière ne sont pas reprises en comptabilité de gestion Î on parle de « charges non incorporées » (exemple : charges exceptionnelles, amortissement des frais d’établissement, etc ….). – gère le changement dans une dynamique de progrès continu, par une pratique permanente d’analyse et de diagnostic, Dans un souci de pertinence, la comptabilité de gestion ne travaille pas exactement sur les mêmes charges que la comptabilité financière : - certaines charges de la comptabilité financière ne sont pas reprises en comptabilité de gestion Î on parle de « charges non incorporées » (exemple : charges exceptionnelles, amortissement des frais d’établissement, etc ….) Fiche 2 La gestion budgétaire des ventes Elle comporte une définition des objectifs à atteindre et des moyens à mettre en œuvre.