Au coeur du joyau culturel, venez expérimenter une nuit de folie dans une boite de nuit à Paris. À vie, tout le temps. Nous avons été dépassés par l’engouement qu’il y a eu de la part du public. avec une démocratisation de la techno), il reste tout de même assez atypique et se mélange à la perfection. Envie de profiter de Paris jusqu’au bout de la nuit? François : ÃŠtre libre et heureux. Dans le 6e arrondissement, Le Rive Gauche vous accueille dans un décor rouge pailleté tout droit sorti des années 70. La Ville de Paris a réalisé la campagne harcèlement, stop ! Profondément libertaires, incendiaires, inspirées des scènes berlinoises alternatives, par ses codes, ses valeurs, Possession est la promesse d’une virée en enfer. Un film incroyable d’Andrzej Zulawski, sorti en 1981…. Je rêvais de pouvoir partager ma vision de la fête et surtout de faire découvrir les artistes que j’affectionne. Glazart: Glazart a pris possession de l'ancienne zone des fortifications entre le Parc de La Villette et Aubervilliers. Il est monté sur scène où l’attendaient tous ses amis et proches, il s’y est mis direct et a prolongé l’extase au Gibus de la plus belle des manières. Le Palace, c'est un mythe, le symbole des années 80, et des fêtes folles : … Retrouvez les horaires du Bar à Bulles ici, Site Internet : https://www.lamachinedumoulinrouge.com/, 29 avenue de la Porte d’Aubervilliers, 75018 Paris. V. ous pourrez y retrouvez des stars internationales comme Kanye West, Kendall Jenner ou bien Justin Bieber qui sont devenus des habitués pour célébrer leur aftershow, pour la Fashion Week, par exemple. Procrastrinatrice quand il s’agit de se remettre en sport, elle est beaucoup plus réactive quand il faut sortir se déchainer sur la piste de danse. Avec comme première dauphine Common Frequencies d’Oscar Mulero et comme étoile montante Melczop 2 de Skee Mask. À la boîte de nuit La Suite, à Brest, des personnes se sont plaintes d’agressions ce dimanche 5 août, vers 6 h. Un homme de 32 ans, en possession de plusieurs couteaux, a été interpellé. Dans les milieux interlopes des soirées saint-gilloises, l'homme ne passe pas inaperçu puisqu'il s'affiche en boîte de nuit dans son fauteuil roulant. Place des Insurgés de Varsovie (6 189,46 km) 75015 Paris. Voici notre sélection de boîtes de nuit et clubs pour faire la fête. Anne-Claire : Anne-Claire, à l’origine du projet comme nous tous. Quand il est 4 h du matin et qu’on vous demande ce qu’est. Lieux de fête et d’amusement, elles proposent parfois des soirées thématiques pour profiter jusqu’au bout de la nuit. Naïla : Trouver le bon équilibre entre faire la fête soit même, assurer l’accueil des artistes, mixer pour ma part, faire plaisir à mes potes, booker des artistes qui me font rêver, tenter des trucs. On fait la fête parce qu’on a envie de se sentir libre, vivant, plein d’espoir et sans limitation aucune. Dans le quartier de Belleville, cette boîte de nuit à l’ambiance conviviale présente des musiques du moments (électronique et international), organise des soirées et des concerts. Mathilda : Je suis de nature assez stressée. François : 32 ans, scénariste. Ça dansait partout, en sueur, à moitié à poil, avec de tout, tout le monde, pour tous… Les gens se roulaient des pelles, des filles faisaient du podium seins nus avec des quadras gays ultra bodybuildés. Sans oublier l’attitude de la sécurité, qui par son caractère répressif me choquait, infantilisation et contrôle permanent, impossibilité ne serait-ce que d’enlever son t-shirt. Anne-Claire : Une soirée qui lie les gens par leur amour de la techno et de la fête, peu importe leur origine sociale, leur âge, ou leur sexualité. Possession numéro 3, en plein dîner avec les artistes/préparatifs soundcheck. Possession on the dancefloor. François : La même chose qu’à toute heure du jour ou de la nuit : une soirée qui vise à mélanger publics hétéro et non-hétéro sur de beaux line-ups techno, tout en garantissant un minimum de restrictions ou de pression. François :  La même chose, même si je ne serais pas contre voir davantage de public non-hétérosexuel ou même plus âgé venir à Possession. Une promesse de retournement de crâne. T7 Paris. J’attends d’un public qu’il ne se comporte pas en consommateur, ce qui hélas est de plus en plus compliqué au vu des valeurs qui sont véhiculées par la société aujourd’hui. Site Internet : https://www.labellevilloise.com/. «Â, Anne-Claire : Quand Mathilda draguait une flic, qui était là à la base avec son squad pour arrêter une de nos soirées se déroulant dans un squat, pour rétablir la vérité ; quand le public applaudit à la fin des sets des artistes, les sets de Regis, Perc, Bas Mooy, Dj Deep, Rrose, Sunil Sharpe, Adam X, Vatican Shadow, Shlomo et j’en passe, la gentillesse de certains des artistes que l’on fait venir et revenir, les liens que nous tissons avec eux, Surgeon et son jus de pêche jaune trop mignon. Le nom, je n’ai pas eu mon mot à dire à son sujet, ce sont les filles qui ont choisi. À l’intérieur il faisait une chaleur et une moiteur colossales et l’ambiance était folle. Pour Berlin je suis très intéressé par le collectif Anomalie et j’adore plus que tout mes chouchous d’Interzone, qui commencent à faire des soirées en France ! Ça représente principalement du travail. Pour les oiseaux de nuit, Petit Bain propose de très régulières soirées clubbing aux line-up pointus, parfaits pour voir le lever de soleil sur le fleuve. Dans un décor baroco-indus (mais qui se souciait des angelots ou des balustrades ? Entrée gratuite (donation libre sur place). Continuer de travailler dans la musique. À la fin des années 2010, la France compte officiellement 1 500 discothèques ou boite de nuit [19]. Les meufs qui chopent des meufs pour la première fois et nous en remercient. Naïla : Une fête de mauvais genre, qui fait durer la fête et la nuit jusqu’à midi. Naïla : Manger un panini extrait d’un distributeur à paninis se trouvant dans le club. Bien sûr cela a des avantages, ouvre des portes parallèlement et j’en profite, mais ce n’est pas ce que je suis venu chercher à la base. Bienvenue au Palace. Finalement, quand on a vu cette queue qui ne s’arrêtait pas ; j’ai pu enfin me laisser aller… j’ai terminé dans un super état en sueur à danser sur la scène aux côtés de certains de mes DJ’s préférés… C’était juste un pur kiff ! Il y a beaucoup de fiiiiillllleeees ! J’aimerais simplement que le public ne prenne pas une soirée pour un produit consommable, qu’il ne la considère pas comme un service. Et finir par monter un club qui me ressemble. Je me délecte aussi à l’idée de découvrir les nouvelles soirées Myst, où je ne suis pas encore allé. Grand moment ! Pour les tracks, comme François, gros coup de coeur pour le Cadency depuis sa sortie. Je travaille comme collaborateur artistique sur un projet un peu plus confidentiel mais qui organise des fêtes inoubliables. Sinon j’ai deux rêves : ouvrir un club d’ambient et développer l’univers des soirées et de la techno en Iran. Les discothèques sont des établissements nocturnes proposant de la musique et une piste de danse. 30 248 personnes suivent ce lieu. Une cinquantaine d'individus ont été interpellés, samedi dans une villa de la côte Ain Diab à Casablanca. #VivanLasChaussettas #LeBleuCestLaVie, Mixtape 23. Quant à Roman Poncet, il arrivait pour prendre les platines à neuf heures du mat’ après avoir mixé à Nantes la même nuit et pris un train puis le métro, tout seul comme un grand. Sans cet accès gratuit, vous devrez payer 10€ à l’entrée. François : Les attentats du 13 novembre 2015 (Possession numéro 3, en plein dîner avec les artistes/préparatifs soundcheck.). J’aime vraiment que les choses soient bien faites, de manière carré et j’ai toujours peur que quelque chose ne se passe pas comme cela devrait. Sinon j’ai deux rêves : ouvrir un club d’ambient et développer l’univers des soirées et de la techno en Iran. Il faut que je prenne le temps de lancer mon projet de Fanzine. Un des plus vieux clubs Parisien, le Rex Club tient son nom au fait qu’il soit situé au sous-sol du Grand Rex. Alors que les commerces attendent une date de réouverture, les boites de nuit sont plus que jamais en difficulté face à la crise sanitaire. si on a trop chaud…) Et lorsque je sortais en soirée LGBTQIA+, je n’étais pas non plus à mon aise. Le weekend on a besoin de se défouler, de ne plus penser à tout ce stress, au travail, à notre patron, à la vie merdique qui nous attend le lundi…, Naïla :  Parce qu’il n’y a que ça qui compte (ou presque). Dans le Paris de l'entre-deux-guerres, la mode est d'abord aux dancings, ... [19]. Le Glazart vous proposes de fêter vos soirées dans un club au style de musique variée ; techno, house, metal, rock, trance, dub, hardtek, dubstep. Naïla : Pour que la nuit ne s’achève jamais. Proposer un évènement Les meilleures adresses pour clubber. J’aimerais simplement que le public ne prenne pas une soirée pour un produit consommable, qu’il ne la considère pas comme un service. La même chose qu’à toute heure du jour ou de la nuit : une soirée qui vise à mélanger publics hétéro et non-hétéro sur de beaux line-ups techno, tout en garantissant un minimum de restrictions ou de pression. François : « La fête c’est la magie devenue réalité, le divin à portée d’humain, le ciel descendu sur terre, le temps d’une nuit. Pour les possession et ça, sur toutes les éditions depuis celle de septembre 2015, j’ai peur qu’il n’y ait jamais assez de monde… Autant te dire que la première j’étais vraiment pas bien. Un quart d'entre elles ont déjà fermées leurs portes. En effet, sous ces tons dorés et néon choisis par Lenny Kravitz, le club offre un jardin-terrasse pour faire la fête dans un des endroits les plus selects de France. Ce qui a été incroyable aussi ont été les tous premiers retours que l’on a reçus le lendemain, on avait vraiment l’impression d’avoir révolutionné la fête sur Paris l’espace d’une nuit. La fête c’est la magie devenue réalité, le divin à portée d’humain, le ciel descendu sur terre, le temps d’une nuit. Sans oublier l’attitude de la sécurité, qui par son caractère répressif me choquait (infantilisation et contrôle permanent, impossibilité ne serait-ce que d’enlever son t-shirt (WTF???) Parce que les gens sont dans une dynamique d’échange et de risque, d’aventure, nettement plus forte que dans la vie de tous les jours. C’est quelque chose que je rêvais de faire depuis le départ. Mathilda : En boucle depuis deux jours le mix de Paula Temple à Awakenings. Anciennement le Social Club, la nouveauté du Sacré, c’est ses deux salles, deux ambiances. Où loger à Paris et dans quel quartier réserver mon hôtel ? Qu’est ce qu’on attend d’un public quand on fait des soirées ? Une soirée c’est un événement que nous organisons, que nous proposons, mais c’est aussi au public d’y mettre du sien et de participer à sa manière. Bien que je trouve que notre public ait beaucoup changé depuis les soirées au Gibus (avec une démocratisation de la techno), il reste tout de même assez atypique et se mélange à la perfection. Nous avons été débordés, submergés par l’ampleur du désir que la soirée avait suscité. otre track préféré à écouter en after c’est quoi ? En 1992, ce sont les gays qui donnent le tempo de la nuit à Paris, et c’est au Queen que ça se passe. On a trouvé le nom en fouillant dans les dvd, livres et vinyles d’Anne-Claire. Salut les kheys , il y’a quoi comme endroit avec de la bonne musique live sur Paris . Je connaissais l’artiste avant qu’on le booke bien entendu mais la qualité de son set était juste bien au-dessus des attentes que j’avais. La discothèque très select de Jean Roch, rue de Rivoli, va fermer ses portes définitivement à cause de "contraintes économiques et administratives". | Moesha 13 – « De la chicha pour mes gadjis », Diskonected : « On était tous les 3 derrière les platines, on s’est mis à sauter car on rinçait ce son depuis quelques semaines ! ». Comme le dit Francois on s’est fait déborder, on espérait bien sûr que le public soit au rendez vous mais honnêtement on ne l’attendait pas aussi nombreux, on a donc fait au mieux pour accueillir tout le monde, ça a du le faire car le public est revenu à chaque fois, on a beaucoup ri dans toute cette excitation, c’est super important de se marrer pendant la soirée car comme l’a soulevé Francois y’a du boulot en amont… Le jour de la soirée c’est un peu notre récompense aussi, ça l’est à fond pour moi en tout cas et sans ça je ne pourrais pas avancer. À vie, tout le temps. François : Je sortais très souvent à Berlin, principalement au Berghain ou bien dans des soirées comme l’Homopatik/Buttons à ://aboutblank et la Cocktail d’Amore XXL au Grießmühle. Bien sûr cela a des avantages, ouvre des portes parallèlement et j’en profite, mais ce n’est pas ce que je suis venu chercher à la base. Mathilda : Pour moi la véritable découverte des sets de Tripeo. Le truc dont vous êtes fiers avec les soirées que vous organisez ? Situé sur la place de l’Etoile, ce club … Il n’y avait pas une soirée gay/queer qui programmait de la techno… Je me suis ouvert de cela à Naïla, qui en a parlé à Anne-Claire, qui a embarqué Mathilda. Et pour cette dernière, allez-y les yeux fermés, la prog est parmi les plus qualitatives sur la place de Paris en ce moment. Ce n’est peut être pas à nous de dire ce que ça représente mais on défend notre vision de la teuf que l’on veut ouverte, décomplexée et sans limite ! Beaucoup de stress le jour J en ce qui me concerne. [Guide] Dégustation de vin à Paris : Où aller ? Tout le temps. Une soirée c’est un événement que nous organisons, que nous proposons, mais c’est aussi au public d’y mettre du sien et de participer à sa manière. La soirée a été lancée en deux temps-trois mouvements ; je n’ai rien eu le temps de voir venir. avec Anne-Claire on bosse parallèlement sur les jeudi techno aux Nuits Fauves). Une délicieuse virée. Mathilda : Continuer d’organiser des soirées (avec Anne-Claire on bosse parallèlement sur les jeudi techno aux Nuits Fauves). Nous avons été débordés, submergés par l’ampleur du désir que la soirée avait suscité. Le pire truc qui puisse arriver quand on organise une soirée ? 993” et le tout nouvel album de Johannes Heil, Parce que la fête ça n’a pas d’heure. Une grande première pour ACR et un inimaginable rêve devenu réalité pour ma part. Les événements ont la gratuité d’entrée à condition d’avoir préalablement rempli un formulaire sur leur site Internet, ici. Les artistes étaient ravis. Avant tout le respect, le respect des uns et des autres, celui des artistes, celui des orgas, des gens qui travaillent à encadre le public : je pense aux agents de sécu notamment mais aussi barmens etc. Les revues légères à thèmes et « des plaisirs de la nuit » s'enchaînent, avec Palace aux nues, Yo t'aime, La Beauté de Paris, Femmes et Sports (1927) avec le boxeur Georges Carpentier reconverti, Paris-Madrid et Raquel Meller (avril 1929), Nudist'Bar (novembre 1930) avec Harry Pilcer et Charpini, La Revue argentine (1931) avec Gloria Guzman et Sofia Bozan. Et parce que l’on se dit que quelque chose ou quelqu’un peut advenir, pour le meilleur. Trouver le bon équilibre entre faire la fête soit même, assurer l’accueil des artistes, mixer pour ma part, faire plaisir à mes potes, booker des artistes qui me font rêver, tenter des trucs. À deux pas de l’Arc de Triomphe, cette boîte de nuit est très prisée et populaire dans la Capitale. Avec présentation du Pass Culture : 5€, Les Jeudi Java : une place achetée = une place offerte. On a trouvé le nom en fouillant dans les dvd, livres et vinyles d’Anne-Claire. Les lasers de la boîte de nuit lilloise auraient fait une nouvelle victime. Et qui n’a pas dit son dernier mot ! Je suis de nature assez stressée. Qu’on me vole mes clés pendant que je mixe », Anne-Claire : Quand on demande aux gens à la porte s’ils connaissent la soirée et qu’il répondent « oui la Concrète ! » ; quand les artistes oublient leur matos, oui ça arrive…. François : Probablement la Possession d’octobre 2016, lorsque Answer Code Request – un de mes deux DJs préférés – nous a proposé de jouer et en live et en DJ set au cours de la même soirée pour nous sauver de la défection de Ritzi Lee, dont le vol Amsterdam-Paris avait été annulé à la dernière minute. Je rêvais de pouvoir partager ma vision de la fête et surtout de faire découvrir les artistes que j’affectionne. Cette adresse ne vous dit peut-être rien, mais elle a été pendant cinq ans le lieu de rendez-vous (et d'obsession) du Tout Paris en quête d'une nuit improbable.